Vous vivez avec une douleur chronique.
Une douleur invisible, persistante, insidieuse.
→ Dès le réveil, votre corps pèse déjà lourd.
Avant même de poser un pied au sol, vous savez que cette journée sera un combat.
La douleur est là : parfois sourde, parfois vive ; mais toujours prête à reprendre le dessus.
Chaque geste est un effort.
Chaque sortie est une stratégie.
Chaque projet est suspendu à un “si ça va”.
Vous anticipez. Vous adaptez. Vous annulez.
Et à force, vous vous coupez du monde.
À dire “ça va” quand tout hurle à l’intérieur.
À sourire pour ne pas inquiéter.
À minimiser, à encaisser, à tenir.
Mais ça ne passe pas.
La nuit non plus ne vous laisse aucun répit.
Le sommeil est haché, fragile.
La douleur vous réveille. Le mental s’emballe.
Et au matin, tout recommence.
Médicaments, ostéo, routines, conseils.
Mais rien ne soulage vraiment. Rien ne tient dans le temps.
Et vous vous demandez jusqu’à quand vous allez pouvoir continuer comme ça.
Ce n’est pas un manque de volonté.
C’est que vous êtes épuisé·e.
Et que vous ne savez plus par où commencer.
Et surtout : ce que vous ressentez est réel.
Vous vivez simplement avec une douleur chronique qui épuise, qui isole, qui vous pousse à avancer en silence.
Ce que vous ressentez est réel.
Ce que vous traversez est lourd.
Et personne ne devrait avoir à porter ça seul·e.
Je sais ce que c’est que d’avoir mal sans explication.
De se sentir à part, incompris·e.
De devoir justifier une douleur invisible, tout en essayant de la cacher.
Vous avez appris à faire avec.
Parce que vous n’aviez pas le choix.
Mais vivre comme ça, ce n’est pas vivre.
C’est survivre à sa douleur, jour après jour.
Peut-être que vous avez arrêté d’en parler.
Parce que les mots sont devenus trop lourds.
Parce que les autres ne comprennent pas.
Peut-être même que vous vous êtes dit que c’était vous, le problème.
Mais non.
Vous faites de votre mieux, chaque jour, en silence.
Et ce que vous ressentez n’est pas “trop”, ni “dans votre tête”.
C’est juste qu’on ne vous a jamais appris quoi faire avec une douleur qui ne passe pas.
Et il est temps que ça change.
Il est temps d’apprendre à mieux vivre avec cette douleur chronique, de retrouver de l’espace, du souffle, de la clarté.
→ Sans lutter, sans culpabilité ; et surtout, sans être seul·e.
→ La douleur chronique. Le mental en boucle. La peur constante que ça recommence. Et si tout ça ne prenait plus toute la place ?
Imaginez un quotidien où vous ne vivez plus “à côté de vous-même”.
Où vous vous sentez à nouveau habiter votre corps. Posé·e. Présent·e.
Où vous retrouvez un lien apaisé avec vous-même, malgré la douleur.
Vous pourriez vous lever sans anticiper ce qui va coincer.
Sortir sans craindre d’avoir à tout annuler.
Respirer sans cette tension permanente dans la poitrine.
Peut-être que la douleur sera encore là. Par moments.
Mais elle ne serait plus la chef d’orchestre de votre vie.
Vous ne vivriez plus au rythme de la douleur, mais au vôtre.
Vous retrouveriez :
• de l’espace dans votre tête
• du calme dans votre corps
• un peu plus d’énergie, de clarté, de liberté
Et surtout… vous retrouveriez le droit d’avoir des envies.
Pas juste tenir, mais vivre avec plus de sérénité, malgré la douleur chronique.
Si vous êtes ici, ce n’est sûrement pas par hasard.
Peut-être que vous êtes fatigué·e de tout essayer, de consulter sans trouver de soulagement durable.
Peut-être que vous vous demandez encore si ça vaut le coup de tenter autre chose.
Mais une chose est sûre : vous êtes au bon endroit pour commencer à faire autrement.
Vous n’êtes pas seul·e. Et vous n’avez pas à continuer seul·e.
Demander de l’aide, ce n’est pas un aveu de faiblesse.
C’est une décision courageuse : celle de ne plus avancer seul·e, de vous donner une chance d’aller mieux.
Mon rôle, c’est de vous accompagner, pas de vous juger.
Je vais vous proposer un espace d’écoute, de calme, de sécurité, pour que vous puissiez poser ce que vous vivez, à votre rythme.
Pas à pas, nous avancerons vers un quotidien plus clair, plus fluide, plus apaisé.
Je crois en un accompagnement qui ne s’arrête pas à la porte du cabinet.
→ Grâce à l’application Myndlee, je reste à vos côtés entre les séances :
• Pour vous soutenir dans les moments difficiles
• Pour vous rappeler ce que votre corps sait faire
• Pour vous aider à intégrer des outils concrets au quotidien
Parce que votre douleur ne s’interrompt pas entre deux rendez-vous.
Et que vous méritez un vrai accompagnement, continu, humain.
Tout commence simplement : par une première prise de contact.
Je vous écoute, vous me racontez.
Et on voit ensemble si ce chemin, vous voulez qu’on le fasse à deux.
Voici quelques repères pour savoir si mon accompagnement est fait pour vous ou votre enfant :
→ Cet accompagnement est pour vous si vous avez envie d’agir, sans vous brusquer.
Envie d’un changement concret, en profondeur, et à votre rythme.
Envie d’en parler simplement ?
Je vous répondrai personnellement, avec bienveillance.
→ Contactez-moi par mail, téléphone